Une ancienne comptable poursuit Jiang Zemin pour avoir violé sa liberté de croyance et l’avoir forcée à abandonner son domicile

(Minghui.org) Mme Fang Xia et son fils avaient tous deux des problèmes de santé depuis leur enfance et chaque jour représentait une lutte. Au moment où cette mère célibataire perdait tout espoir, elle a commencé à pratiquer le Falun Dafa, ce qui leur a donné un nouveau départ dans la vie.

Mais, cette période de santé et de bonheur n’a pas duré longtemps. Quelques années plus tard, Jiang Zemin, alors à la tête des autorités chinoises, a lancé la persécution du Falun Dafa et elle a été détenue pendant 15 jours. Elle a dû quitter son domicile en 2012 pour éviter d’être arrêtée et ne peut toujours pas rentrer chez elle.

Mme Fang, autrefois comptable dans un hôtel de Luoyang, province du Henan, a récemment porté plainte contre Jiang Zemin pour avoir orchestré la persécution qui essaie de l’empêcher de pratiquer le Falun Dafa et l’a forcée à vivre loin de chez elle.

Dans sa plainte, Mme Li a décrit sa vie de misère avant de rencontrer le Falun Dafa, comment la pratique lui a rendu la santé ainsi qu’à son fils et comment la persécution l’a forcée à fuir son domicile en laissant son fils aux soins de ses parents.

Tourmentée par des problèmes de santé depuis que je suis enfant

Lorsque j’avais environ six ans, un morceau de verre est tombé de l’étage et m’a frappé à la tête. Après l’accident, j’étais la plupart du temps étourdie et je souffrais de terribles migraines.

À l’école secondaire, j’avais de très douloureuses hémorroïdes. Même le médecin était surpris par la gravité de mon état et a dit qu’il n’y avait pas de remède.

J’avais mal à la gorge un mois sur deux. Chaque fois que je contractais une infection, j’avais l’impression que ma gorge était en feu et je devais respirer par la bouche toute la nuit, ce qui affectait mon sommeil. Cela a empiré au point que j’en ai perdu la voix.

Avec le temps, d’autres problèmes de santé ont commencé à m’affecter, comme l’arthrite, une tension artérielle élevée, des calculs rénaux, des maux d’estomac et des engelures. J’étais souvent absente au travail en raison de mes maladies et cela rendait mes patrons mécontents.

La douleur constante a fini par me rendre sombre et sans joie. Je suis devenue renfermée et distante.

Tourmenté par la maladie, mon fils reste entre la vie et la mort

Un proverbe chinois dit : « Les bénédictions n’arrivent pas par deux ; les infortunes n’arrivent jamais seules. » Alors que mon fils avait cinq mois, le médecin m’a dit qu’il souffrait d’hémophilie, une maladie qui empêche le sang de coaguler normalement. Cela est extrêmement dangereux en cas de blessure et provoque des douleurs prolongées dans les articulations. Même les adultes trouvent la douleur insupportable, sans parler d’un enfant.

Le médecin m’a appris que cette maladie ne touche qu’une personne sur 100 000. Cette information m’a frappée sans que j’y sois préparée. Je me suis effondrée.

Après cela, j’étais encore plus misérable. Je devais emmener mon fils à l’hôpital tout le temps. Ses fesses durcissaient à cause des injections et un côté était plus gros que l’autre. Chaque fois qu’il était admis à l’hôpital, les médecins me disaient de me préparer au pire.

Mon fils pleurait jour et nuit quand ses articulations le faisaient souffrir et je ne pouvais rien faire pour l’aider. J’aurais tellement voulu supporter la douleur pour lui ! Les parents qui ont des enfants en bonne santé ne peuvent imaginer la souffrance que j’ai endurée.

J’étais divorcée et je vivais avec mes parents et mon plus jeune frère. Mon fils criait tout le temps et même si ma famille ne disait rien, je me sentais très mal. Pour leur donner un peu de paix et de tranquillité, mon fils et moi passions des jours entiers dans le parc.

Les voisins venaient frapper à la porte au milieu de la nuit pour se plaindre du bruit que faisait mon fils. Je pleurais tous les jours et ne je voyais aucun espoir.

Mon fils vit des miracles

Au point le plus bas de ma vie, ma mère a commencé à pratiquer le Falun Gong. C’était en 1996. Elle a rapidement guéri de ses maladies qui l’avaient incommodée pendant de nombreuses années. Tout le monde lui adressait des compliments sur sa forme. Elle a enseigné les exercices à mon fils qui avait alors près de huit ans. Son teint pâle est devenu rosé et sa santé s’est grandement améliorée.

Un jour, la chose que je craignais le plus s’est produite : mon fils s’est accidentellement coupé le doigt. Pour arrêter le saignement, il l’a garrotté avec un élastique. À l’hôpital, le médecin a dit que comme l’élastique avait été serré trop fort pendant trop longtemps, le sang n’avait pas pu circuler et son doigt était mort et devait être amputé.

Je l’ai emmené dans deux autres hôpitaux, mais aucun n’a voulu le soigner. Par désespoir, j’ai dit à mon fils : « Appelle le Maître du Falun Dafa à l’aide. » Pendant une semaine, nous avons demandé l’aide du Maître ensemble. Lorsque j’ai finalement enlevé le bandage de son doigt, j’ai été abasourdie par ce que j’ai vu. Son doigt avait complètement guéri ! C’était un miracle. Je n’oublierai jamais la gratitude que j’ai ressentie envers le Maître.

Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, mon fils a subi de nombreuses blessures graves et des maladies. Mais grâce à sa foi en Dafa, il s’est rétabli chaque fois. Les gens ont été témoin des changements en lui et ont compris qu’ils venaient de la pratique du Falun Gong.

Pratiquer le Falun Dafa m’aide à changer

Après avoir lu le Zhuan Falun, le livre principal du Falun Dafa, j’ai commencé à comprendre pourquoi nous rencontrons des épreuves et la raison de notre existence. Grâce à la cultivation, j’ai complètement changé physiquement et mentalement. Les maladies dont j’avais souffert pendant de nombreuses années ont disparu et même les migraines qui m’avaient perturbée depuis l’enfance étaient parties.

Je suis devenue détendue et remplie d’énergie. Mon expérience était un témoignage de la puissance de Dafa. En 2009, lors d’une rencontre avec d’anciens compagnons de classe, chacun a remarqué combien j’étais différente. J’étais chaleureuse, optimiste et confiante. Ils ont reconnu qu’entre eux tous, j’étais celle qui avait le plus changé.

J’étais aussi devenue honnête, tolérante et prévenante.

Lorsque mon directeur m’a laissé partir parce qu’il avait prévu qu’une personne avec qui il était en bons termes me remplace, je n’ai gardé aucun ressentiment.

Sur le chemin du retour, j’ai rencontré plusieurs personnes en voyage d’affaires. Ils m’ont demandé s’il y avait un bon hôtel dans les environs. Sans hésitation, j’ai recommandé mon ancien lieu de travail.

Lorsque des commis me rendaient plus de monnaie que ce qu’ils me devaient, je rendais toujours ce qu’il y avait en trop. Chaque fois qu’une personne que je connaissais était malheureuse, j’essayais de l’aider, parce que les enseignements du Falun Dafa nous demandent d’être prévenants et désintéressés.

Arrestations, détention, errance

Après le début de la persécution du Falun Gong, parce que j’avais refusé d’abandonner mes convictions, les autorités de la ville de Luoyang ont inventé des accusations et m’ont illégalement détenue pendant 15 jours.

Mon domicile, mon magasin et le domicile de mes parents ont été fouillés et j’ai été enfermée avec des prostituées et des toxicomanes. J’ai dû coudre des couvertures et balayer les cours et les bureaux de la police. Des responsables du Bureau 610 m’ont menacée et ont utilisé des tactiques de lavage de cerveau pour essayer de me faire arrêter de pratiquer le Falun Gong.

En novembre 2012, des agents du département de police de Xigong ont mis mon téléphone sur écoute, ont suivi les membres de ma famille et ont essayé de m’arrêter. Je me suis échappée et je ne suis pas retournée à la maison depuis, de peur d’être arrêtée.

Avant cette tentative d’arrestation, la police avait déjà forcé mon père à les emmener à la maison, où ils sont entrés de force pour fouiller. Traumatisé par l’incident, mon pauvre père, qui a plus de 70 ans, a eu une crise cardiaque et a dû être emmené à l’hôpital.

Pendant un certain temps, j’ai erré et dormi dans des parcs et des couloirs d’immeubles et j’ai lutté pour simplement rester en vie. Une fois, j’ai passé la nuit dans un champ désert, tremblant dans le froid de la fin d’automne. Les jours avec ma famille et les compagnons de cultivation me manquaient tellement !

Même s’ils n’ont pas réussi à me trouver, les policiers n’ont pas épargné mes parents. Au cours des trois ans après que j’ai quitté mon domicile, ils les ont harcelés en de nombreuses occasions pour les forcer à révéler où je me trouvais.

Je n’ai aucun revenu. Bien que j’aie atteint l’âge de la retraite en 2013, je ne peux pas rentrer chez moi pour introduire une demande de pension.

La répression du Falun Gong par Jiang Zemin a causé de grandes souffrances à ma famille et à moi-même.

À ce jour, je dois constamment faire attention à ma sécurité pour éviter d’être arrêtée. Je ne peux pas vivre comme une personne normale et je subis de grandes pressions psychologiques.

Je suis triste de ne pas pouvoir être aux côtés de mes parents pour prendre soin d’eux. Je ne peux pas remplir mon rôle de mère. Quand cela s’arrêtera-t-il ? Quand cette injustice prendra-t-elle fin ?

J’exhorte le Parquet suprême à traduire Jiang Zemin en justice pour ses crimes contre l’humanité et à restaurer la réputation du Falun Dafa.

Traduit de l’anglais en Belgique

Version anglaise : http://en.minghui.org/html/articles/2015/8/13/152050.html
Version chinoise : http://www.minghui.org/mh/articles/2015/7/31/313359.html

Philadelphie, États-Unis : La méditation paisible attire les touristes qui visitent le Liberty Bell

Écrit par un pratiquant de Falun Gong à Philadelphie

(Minghui.org) Les touristes qui visitent la célèbre Liberty Bell à Philadelphie ont également la possibilité de connaître la pratique de méditation paisible du Falun Gong. La pratique, dont le principe central est Authenticité-Bienveillance-Tolérance, est persécutée en Chine depuis 16 ans.

Pour beaucoup d’entre eux, la rencontre leur montre une pratique que des millions ont adoptée pour améliorer l’esprit et le corps, et leur donne une occasion de soutenir les pratiquants de Falun Gong dans leur résistance non-violente à la persécution à laquelle ils font face en Chine, le tout dans l’esprit de liberté et dans la ville natale de la liberté en Amérique.

Carl de Lancaster, en Pennsylvanie, a visité le site avec sa femme, leur fille de six ans et leur fils de quatre ans, le 9 août. Sa femme et sa fille ont pris le temps d’apprendre la méditation du Falun Gong. Carl a pris une copie des documents et a dit qu’il était à la recherche d’une bonne méthode pour améliorer l’esprit et le corps.

Kate est originaire du Mexique et vit en Floride. Elle s’est assise et s’est jointe à la méditation. Elle a dit qu’elle était heureuse de rencontrer une méthode de méditation sur un site touristique. Après avoir appris la persécution du Falun Gong en Chine, elle a offert de poster des informations sur ses pages de médias sociaux pour faire passer le mot.


Les pratiquants de Falun Gong, y compris Mme Zhang, âgée de 81 ans (première à gauche dans la première rangée) et Enze, une petite fille âgée de 8 ans (première à droite sur la première rangée), pratiquent les exercices de Falun Gong sur le site touristique de Liberty Bell à Philadelphie.


Une fillette âgée de six ans de Lancaster, en Pennsylvanie (deuxième à droite dans la première rangée) et sa mère (la première à droite à l’avant) et Kate de Floride (première à droite dans la deuxième rangée) apprennent à méditer. Ayant appris l’exercice, il y a peu de temps, John (premier à droite dans la rangée arrière) sont revenus sur le site pour pratiquer.

Pour Mme Xie, une pratiquante, la scène des exercices en groupe lui rappelle son expérience en Chine avant le début de la persécution en juillet 1999. Elle s’est rappelée un reportage en novembre 1998 du Yancheng Evening News : « Jeunes et vieux pratiquent le Falun Gong ». Les photos avaient capté une scène similaire à celle de Liberty Bell sur un site d’exercices en groupe à Guangzhou. Les photos dans le reportage montraient une petite de deux ans et un pratiquant de 93 ans qui faisaient les exercices.

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Le reportage de novembre 1998 du Yancheng Evening News : « Jeunes et vieux pratiquent le Falun Gong. » Le Yancheng Evening News était le quotidien dans la région métropolitaine de Guangzhou dans la province du Guangdong. Le reportage photo décrit les diverses professions des différents pratiquants et a déclaré que près de 250 000 personnes pratiquaient le Falun Gong dans la région de Guangzhou.

Mme Xie dit qu’elle appelle souvent en Chine pour parler aux gens de la persécution parce que beaucoup n’auraient pas accès à l’information autrement. Le Falun Gong est calomnié et diffamé par la propagande de l’État.

Elle a dit : « Les gens veulent souvent apprendre les exercices de Falun Gong une fois qu’ils connaissent les faits sur le Falun Gong et la persécution. Cependant, je ne peux pas les aider. Mais je sais que les gens ont une conscience. De plus en plus de Chinois savent ce qui se passe réellement avec les pratiquants de Falun Gong en Chine. Les pratiquants ne font aucun mal à la société que la propagande tente de diffamer. Au contraire, ils sont persécutés pour leur croyance. »

« Beaucoup de Chinois voudraient renoncer à leur adhésion aux organisations communistes parce qu’ils ne veulent pas être associés avec un Parti qui tue des Chinois, » a-t-elle ajouté. « Voilà où je peux les aider. »

Mme Xie aide aussi les touristes chinois à la Liberty Bell à démissionner des organisations du Parti.

Traduit de l’anglais au Canada

Version anglaise : http://en.minghui.org/html/articles/2015/8/17/152116.html
Version chinoise : 费城自由钟一景 老少皆炼法轮功

Un nouveau pratiquant : Être un vrai pratiquant

Écrit par un pratiquant de Falun Dafa de la province du Jiangsu en Chine

(Minghui.org) J’avais un collègue âgé qui avait pratiqué le Falun Dafa pendant de nombreuses années. J’avais entendu parler de beaucoup de grandes choses qui lui étaient arrivées après avoir commencé à pratiquer, mais je n’avais jamais pensé à faire pareil.

Après de nombreuses années, je suis entré en contact avec lui autour du Nouvel An chinois 2013. Je fus étonné qu’il soit en si bonne santé et plein d’entrain.

« Je tiens également à pratiquer le Falun Dafa ! » lâchai-je. Je ne savais même pas d’où cette pensée était venue. Mais à ma grande surprise, après avoir commencé la pratique, je n’ai jamais cessé.

Je suis si heureux de ne pas avoir manqué ma chance.

Saisir la porte de la cultivation et pratique

Ayant grandi dans une société athée, je n’avais pas de base religieuse. J’avais exploré de nombreux enseignements religieux, mais aucun d’entre eux n’avait touché mon cœur. Alors, quand j’ai commencé à pratiquer Dafa, je ne savais pas ce qu’était la cultivation et pratique.

Le Maître a souligné dans ses enseignements que nous devions vraiment nous cultiver intérieurement. Mais comment pouvais-je vraiment me cultiver ?

Selon ma compréhension, tout d’abord, je devais étudier diligemment le Fa et faire les exercices. Je faisais de mon mieux pour faire les cinq séries d’exercices et lire souvent les livres de Dafa.

Plus j’étudiais le Fa, plus je voulais l’étudier. Je n’avais pas beaucoup de copies papier des livres de Dafa à l’époque, donc j’ai téléchargé tous les 44 livres du site Internet Minghui et les ai imprimés.

J’ai lu les livres par ordre chronologique. Après avoir fini de les lire, j’ai senti que mon esprit avait été nettoyé.

J’avais l’habitude de porter une attention particulière aux changements physiques dans mon corps. Mais maintenant, je comprends que dans la cultivation de Dafa, on doit cultiver d’abord et avant tout son xinxing. Comme véritable pratiquant, je devrais suivre les critères de xinxing digne d’un pratiquant dans tout ce que je fais.

Me cultiver véritablement

Je rendais visite à mes parents dans une autre ville pendant le Nouvel An chinois 2014. En raison de la peur, je n’avais pas apporté de livres de Dafa avec moi, mais seulement un lecteur MP3 avec les conférences du Maître et la musique des exercices.

Je me suis fait plaisir en profitant de la vie. Bien que je faisais encore les exercices et écoutais les conférences du Maître, je le faisais comme en accomplissant une tâche. Je me suis souvent endormi en écoutant les conférences. J’ai aussi arrêté de mémoriser le Fa, ce que j’avais commencé quelques mois avant.

Après que je sois rentré de vacances, je sentais que mon état de cultivation s’était relâché. Je faisais encore les exercices et lisais les livres, mais je n’avais pas le sentiment que je faisais des progrès rapides chaque jour.

On m’a donné un test de luxure dans un rêve. Jusqu’à la fin, je ne me suis pas rappelé que j’étais un pratiquant. Je me suis soudain réveillé et j’ai profondément regretté de ne pas avoir passé le test.

Dans un autre rêve, je glissais en bas d’un endroit élevé. Je n’étais pas nerveux ou anxieux, mais j’étais plutôt joyeux. Après que je me sois réveillé, j’étais très en colère contre moi-même.

Je suis devenu alerte après le rêve. Je me suis demandé, suis-je un vrai pratiquant ?

Pendant cette période, je n’ai pas eu beaucoup de succès lorsque je parlais aux gens de la persécution et les persuadais de démissionner du Parti communiste chinois. J’ai compris que si je ne me cultivais pas bien, je ne serais pas en mesure de sauver les êtres.

Tout en parlant à une autre nouvelle pratiquante, elle a dit que la vraie cultivation ne se faisait pas du bout des lèvres. C’était exactement mon problème. Je me sentais très honteux. Parfois, même après avoir compris quelque chose ou m’être éveillé à quelque chose que je devais faire, je ne le faisais pas. Je jugeais les choses sur la base de mes notions et non avec le Fa. Après tout cela, j’avais un manque de foi en le Maître.

J’ai pris la décision que je devais me changer. Le premier point de ma liste d’action était de me lever tôt pour faire les exercices.

En fait, quand j’ai commencé la cultivation, je me réveillais aux alentours de 3 h 30 tous les jours, ce qui ne m’était jamais arrivé auparavant. Un pratiquant m’a rappelé que le Maître me réveillait pour faire les exercices, mais je n’y croyais pas complètement. Je pensais que me lever si tôt nuirait à ma santé. Je sentais qu’en étant un débutant dans la cultivation, mon corps ne serait pas capable de le supporter si je dormais si peu toutes les nuits. Même si je me réveillais aux petites heures chaque matin lors de mes premiers jours de cultivation, je ne me suis jamais levé tôt pour faire les exercices.

J’ai réalisé que je ne croyais pas en le Maître. Si c’était quelque chose que le Maître voulait que je fasse, je devrais sûrement être capable de le faire.

J’ai fait de mon mieux pour me lever tôt le matin. Bien que je ne pouvais pas persister à le faire tous les jours, je me suis toujours levé beaucoup plus tôt qu’auparavant. Plus surprenant, je ne sentais jamais l’inconfort du manque de sommeil. Au lieu de cela, mon esprit était plus clair et plus net et je me sentais plus énergique. Le bonheur que j’avais quand j’ai commencé à pratiquer Dafa était revenu.

J’ai aussi remarqué un autre changement en moi. Chaque fois que je rencontrais quelque chose, je me souvenais que le Maître était avec moi. J’étais ravi de véritablement cultiver maintenant.

Mon horaire de travail est devenu plus occupé. Il s’est avéré être utile pour moi de me lever tôt pour faire les exercices, car je devais aussi aller travailler tôt. Malgré le travail chargé et stressant, je ne me sentais pas fatigué. J’étais plein d’énergie et je sentais que mon corps devenait de plus en plus léger.

Allé au-dessus et au-delà

J’ai été affecté à une tâche au travail avec des heures supplémentaires. Par conséquent je me suis relâché dans l’étude du Fa et parfois je n’étudiais pas le Fa pendant plusieurs jours de suite.

Sans une étude du Fa solide, je suis devenu confus sur la façon de gérer les relations compliquées avec mes collègues. J’étais frustré que, même après avoir cultivé pendant un certain temps, je ne sache pas encore comment faire face aux conflits.

J’ai essayé de suivre les exigences du Fa, mais je me suis rendu compte que je ne savais pas comment m’aligner avec le Fa. Je pensais à différents principes du Fa, mais je ne savais pas lequel suivre. Je me sentais très mal à l’aise.

Je me suis calmé et j’ai regardé à l’intérieur. J’ai trouvé que j’étais coincé sur ce problème particulier. Quand j’étudiais le Fa, je cherchais une solution. L’étude du Fa et faire les exercices étaient devenus une formalité et mon esprit n’était pas clair.

J’ai aussi trouvé des excuses pour ne pas mémoriser le Fa parce que je trouvais que c’était trop difficile.

J’étais choqué de réaliser mon problème à l’attachement au confort. Je voulais cultiver confortablement et je ne voulais souffrir aucunes difficultés.

Le Maître a dit dans « Enseignement du Fa à la Conférence de Fa en Australie » :

« Ce que je vous demande de faire est de surpasser les gens ordinaires, pour vous élever encore plus haut – c’est-à-dire d’être une meilleure personne, une personne avec des critères moraux plus élevés. Seulement de cette façon, vous pourrez vous élever à travers la cultivation et pratique. »

J’ai soudain compris que pour être un véritable pratiquant, je devais parvenir au-dessus et au-delà des gens ordinaires. Je devais élever ma pensée et regarder les choses d’un niveau plus élevé.

Je me sens vraiment reconnaissant pour le salut du Maître. J’ai encore beaucoup d’attachements, mais je vais cultiver diligemment et rattraper le retard.

Traduit de l’anglais au Canada

Version anglaise : http://en.minghui.org/html/articles/2015/8/9/151986.html
Version chinoise : http://www.minghui.org/mh/articles/2015/7/30/313138.html